Ce blog je l'ai mis en place pour à la fois présenter les projets sur lesquels j'ai un coup de coeur particulier et pour permettre à mes visiteurs de pouvoir percevoir des concepts d'architecture ou d'aménagements intérieurs qui portent une réflexion singulière face à une problématique locale ou environnementale.
Lorsque je découvre un exemple comme celui qui est présenté ci-dessous ou encore celui de The Dovecot , mon expérience professionnelle m'amène à me poser de nombreuses questions et qui reviennent très fréquemment.
Ces projets, tout d'abord, illustrent à mes yeux la parfaite possibilité d'intégrer, dans des lieux existants et bâtis, des concepts singuliers et qui de par leur minimalisme démontrent l'équilibre que ces derniers peuvent apporter dans un environnement classique ou classé. Cependant, force m'est de constater que ces réalisations sont dans 99,9 % des cas des projets qui ont vu le jour à l'étranger. Serions-nous à ce point allergiques aux nouveaux concepts architecturaux ?
De ce fait je ne cesse de me poser la question de savoir si c'est l'architecte qui maîtrise si bien son sujet qu'il a su convaincre le maître d'ouvrage, les autorités administratives, et séduire la population voisine, ou s'il s'agit simplement d'une volonté commune de s'attacher à faire un travail remarqué et qui mérite une vision conceptuelle plus affirmée.
Au pays où le toit à deux pans est roi, les exemples ne sont pas légion pour affirmer qu'une telle volonté existe ; on a plutôt le sentiment que les concepts acquis sont le refuge d'une pensée qui a peur de se remettre en question.
Lorsque je découvre un exemple comme celui qui est présenté ci-dessous ou encore celui de The Dovecot , mon expérience professionnelle m'amène à me poser de nombreuses questions et qui reviennent très fréquemment.
Ces projets, tout d'abord, illustrent à mes yeux la parfaite possibilité d'intégrer, dans des lieux existants et bâtis, des concepts singuliers et qui de par leur minimalisme démontrent l'équilibre que ces derniers peuvent apporter dans un environnement classique ou classé. Cependant, force m'est de constater que ces réalisations sont dans 99,9 % des cas des projets qui ont vu le jour à l'étranger. Serions-nous à ce point allergiques aux nouveaux concepts architecturaux ?
De ce fait je ne cesse de me poser la question de savoir si c'est l'architecte qui maîtrise si bien son sujet qu'il a su convaincre le maître d'ouvrage, les autorités administratives, et séduire la population voisine, ou s'il s'agit simplement d'une volonté commune de s'attacher à faire un travail remarqué et qui mérite une vision conceptuelle plus affirmée.
Au pays où le toit à deux pans est roi, les exemples ne sont pas légion pour affirmer qu'une telle volonté existe ; on a plutôt le sentiment que les concepts acquis sont le refuge d'une pensée qui a peur de se remettre en question.
